Ruby
Guide

Gastronomie

La Chapelle accueillera ses premiers visiteurs et clients vendredi 23 octobre 2020. L’occasion pour le chef Adonis Gana et son associée à la ville et dans la vie, Emma Gruer, de donner corps à un projet aux multiples facettes. Pour les Avignonnais, c’est aussi, et surtout, l’occasion de découvrir le travail de ce cuisinier autodidacte de 37 ans, originaire de Haute-Loire, dont le parcours professionnel l’a conduit aux quatre coins du globe, de l’Angleterre au Brésil, du Sénégal à Avignon. En Provence, Adonis Gana, qui se revendique “passionné de cuisine, vraiment”, a travaillé comme second du chef Nicola Vié au Moulin de Vernègues ; digne représentant de la cuisine fusion, il confie une dilection pour “les goûts du monde”. “J’aime les épices, les condiments, jouer les associations”, dit-il, énumérant le zaatar, le sésame noir, la pâte miso, l’huile de palme africaine et ses opulentes saveurs. Sous les voûtes de la Chapelle, Adonis Gana proposera une ardoise révisée chaque jour au gré du marché, des saisons, des humeurs et des retours clients. “Je serai très porté sur la naturalité, la nature sera mon fil conducteur” assène-t-il. Seul en cuisine, le chef proposera 3 entrées, autant de plats et deux desserts, à l’instar du capuccino de butternut aux marrons-noisettes et girolles bresaola croustillante, du filet de bœuf cuisson longue sous-vide en déclinaison automnale grenailles et choux de Bruxelles travaillés au beurre ou de cette daurade snackée et carottes goût miso-sésame noir et wakamé. Cette naturalité affichée et revendiquée se retrouve à la carte des vins, tous bio et majoritairement nature, “des vignobles indépendants comme nos amis du domaine de la Ferme Saint-Martin”, poursuit le cuisinier. “C’est la première fois que je tiens table à Avignon, confie le chef un rien ému dont la salle comptera 32 couverts assis et proposera une carte de tapas au comptoir. Lorsque je me balade dans les rues, je constate la diversité de l’offre des restaurants, cette ville aime tout et la diversité alimentaire surtout” analyse-t-il. A l’heure du dessert, une poire pochée cardamome-crémeux saveurs de tchaï indien, Adonis Gana pense déjà à la prochaine carte : “Il y aura de la patate douce pourpre, c’est un légume racine à la couleur violette profonde. Ça donne des chips, des purées et des desserts fantastiques ! “. La machine créative est en marche.
14 Rue Saint-Bernard
14 Rue Saint-Bernard
La Chapelle accueillera ses premiers visiteurs et clients vendredi 23 octobre 2020. L’occasion pour le chef Adonis Gana et son associée à la ville et dans la vie, Emma Gruer, de donner corps à un projet aux multiples facettes. Pour les Avignonnais, c’est aussi, et surtout, l’occasion de découvrir le travail de ce cuisinier autodidacte de 37 ans, originaire de Haute-Loire, dont le parcours professionnel l’a conduit aux quatre coins du globe, de l’Angleterre au Brésil, du Sénégal à Avignon. En Provence, Adonis Gana, qui se revendique “passionné de cuisine, vraiment”, a travaillé comme second du chef Nicola Vié au Moulin de Vernègues ; digne représentant de la cuisine fusion, il confie une dilection pour “les goûts du monde”. “J’aime les épices, les condiments, jouer les associations”, dit-il, énumérant le zaatar, le sésame noir, la pâte miso, l’huile de palme africaine et ses opulentes saveurs. Sous les voûtes de la Chapelle, Adonis Gana proposera une ardoise révisée chaque jour au gré du marché, des saisons, des humeurs et des retours clients. “Je serai très porté sur la naturalité, la nature sera mon fil conducteur” assène-t-il. Seul en cuisine, le chef proposera 3 entrées, autant de plats et deux desserts, à l’instar du capuccino de butternut aux marrons-noisettes et girolles bresaola croustillante, du filet de bœuf cuisson longue sous-vide en déclinaison automnale grenailles et choux de Bruxelles travaillés au beurre ou de cette daurade snackée et carottes goût miso-sésame noir et wakamé. Cette naturalité affichée et revendiquée se retrouve à la carte des vins, tous bio et majoritairement nature, “des vignobles indépendants comme nos amis du domaine de la Ferme Saint-Martin”, poursuit le cuisinier. “C’est la première fois que je tiens table à Avignon, confie le chef un rien ému dont la salle comptera 32 couverts assis et proposera une carte de tapas au comptoir. Lorsque je me balade dans les rues, je constate la diversité de l’offre des restaurants, cette ville aime tout et la diversité alimentaire surtout” analyse-t-il. A l’heure du dessert, une poire pochée cardamome-crémeux saveurs de tchaï indien, Adonis Gana pense déjà à la prochaine carte : “Il y aura de la patate douce pourpre, c’est un légume racine à la couleur violette profonde. Ça donne des chips, des purées et des desserts fantastiques ! “. La machine créative est en marche.
La jeune cheffe compose une cuisine provençale en toute simplicité au gré de suggestions à l'ardoise, pour mieux épouser le marché. Son inspiration ignore les frontières ; à l'instar des tacos et guacamole à notre façon ou en dessert la surprise sucrée à la tomate, fraises, olives noires et polenta au lait d'amandes grillées. Jolie cour-terrasse arborée.
9 personas locales recomiendan
Au Jardin Des Carmes
21 Pl. des Carmes
9 personas locales recomiendan
La jeune cheffe compose une cuisine provençale en toute simplicité au gré de suggestions à l'ardoise, pour mieux épouser le marché. Son inspiration ignore les frontières ; à l'instar des tacos et guacamole à notre façon ou en dessert la surprise sucrée à la tomate, fraises, olives noires et polenta au lait d'amandes grillées. Jolie cour-terrasse arborée.