Le Guide du Bon Gone (G.BG)

Sibel
Le Guide du Bon Gone (G.BG)

Gastronomie

28 personas locales recomiendan
Bouchon Les Lyonnais
19 Rue de la Bombarde
28 personas locales recomiendan
31 personas locales recomiendan
Carnegie Hall
253 Rue Marcel Mérieux
31 personas locales recomiendan
244 personas locales recomiendan
Brasserie Georges
30 Cr de Verdun Perrache
244 personas locales recomiendan
42 personas locales recomiendan
Brasserie le Nord
18 Rue Neuve
42 personas locales recomiendan
53 personas locales recomiendan
Le Sud
11 Pl. Antonin Poncet
53 personas locales recomiendan
30 personas locales recomiendan
Victoria Hall
353 Rue du Repos
30 personas locales recomiendan
10 personas locales recomiendan
L'Ange Di Vin
13 Rue de la Monnaie
10 personas locales recomiendan
39 personas locales recomiendan
La Commune
3 Rue Pré-Gaudry
39 personas locales recomiendan
116 personas locales recomiendan
Ninkasi Gerland
267 Rue Marcel Mérieux
116 personas locales recomiendan
Victoire et Thomas Bar à vin/spiritueux restaurant
27 Rue de l'Arbre Sec
9 personas locales recomiendan
48 personas locales recomiendan
Restaurant Marguerite
57 Av. des Frères Lumière
48 personas locales recomiendan
92 personas locales recomiendan
La Mère Brazier
12 Rue Royale
92 personas locales recomiendan
106 personas locales recomiendan
The Monkey Club Cocktail Bar
19 Pl. Tolozan
106 personas locales recomiendan
19 personas locales recomiendan
Le Neuvième Art
173 Rue Cuvier
19 personas locales recomiendan
70 personas locales recomiendan
Glacier Terre Adélice LYON
1 Pl. de la Baleine
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Guide des Quartiers

Depuis le 19ème siècle, la Croix-Rousse est « la colline qui travaille », par opposition à Fourvière, « la colline qui prie ». Quartier de la soierie lyonnaise, elle résonne au 19ème siècle du son des « Bistanclaques », surnom donné aux métiers à tisser par les lyonnais. 30 000 canuts (nom donné à Lyon aux ouvriers de la soie) faisaient alors vivre le quartier et faisaient de la ville un centre majeur du textile en Europe.
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La Croix-Rousse
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Depuis le 19ème siècle, la Croix-Rousse est « la colline qui travaille », par opposition à Fourvière, « la colline qui prie ». Quartier de la soierie lyonnaise, elle résonne au 19ème siècle du son des « Bistanclaques », surnom donné aux métiers à tisser par les lyonnais. 30 000 canuts (nom donné à Lyon aux ouvriers de la soie) faisaient alors vivre le quartier et faisaient de la ville un centre majeur du textile en Europe.

Lieux emblématiques

La Place des Jacobins s'étend sur l'ancien couvent des Jacobins détruit en 1808. Elle doit son nom aux religieux Jacobins ou Frères prêcheurs de l'ordre de Saint-Dominique qui ont occupé l'immeuble. Ce bâtiment a ensuite abrité la préfecture du Rhône sous Louis-Philippe. L'église, construite au xve siècle, fut démolie en 1808. La place a été ouverte en 1557 sur les terrains des religieux à l’emplacement de leur cimetière, les murs ayant été démolis pour permettre l'accès du public. Jusqu'en 1782, la place est appelée Place Confort, puis devient Place des Jacobins.
Place des Jacobins
Place des Jacobins
La Place des Jacobins s'étend sur l'ancien couvent des Jacobins détruit en 1808. Elle doit son nom aux religieux Jacobins ou Frères prêcheurs de l'ordre de Saint-Dominique qui ont occupé l'immeuble. Ce bâtiment a ensuite abrité la préfecture du Rhône sous Louis-Philippe. L'église, construite au xve siècle, fut démolie en 1808. La place a été ouverte en 1557 sur les terrains des religieux à l’emplacement de leur cimetière, les murs ayant été démolis pour permettre l'accès du public. Jusqu'en 1782, la place est appelée Place Confort, puis devient Place des Jacobins.
La Presqu'île, quartier animé qui s’étire des Terreaux à Perrache, est ponctuée de places aux ambiances bien différenciées et de monuments emblématiques. Promenez-vous entre Bellecour et les Terreaux, à travers des rues Renaissance aux noms imagés ou de larges boulevards haussmanniens.
570 personas locales recomiendan
Place Bellecour
Place Bellecour
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La Presqu'île, quartier animé qui s’étire des Terreaux à Perrache, est ponctuée de places aux ambiances bien différenciées et de monuments emblématiques. Promenez-vous entre Bellecour et les Terreaux, à travers des rues Renaissance aux noms imagés ou de larges boulevards haussmanniens.
Pour accéder aux expositions permanentes et temporaires, les adultes devront débourser 9 euros. À partir de 17h, le tarif passe à 6 euros. Quant aux jeunes (de 18 à 25 ans), ils devront s'acquitter de 6 euros.
353 personas locales recomiendan
Museo de la Confluencia
86 Quai Perrache
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Pour accéder aux expositions permanentes et temporaires, les adultes devront débourser 9 euros. À partir de 17h, le tarif passe à 6 euros. Quant aux jeunes (de 18 à 25 ans), ils devront s'acquitter de 6 euros.
Plein tarif : Collections permanentes : 8€ Expositions temporaires : 12€ Tarifs réduits : (Sur présentation d'un justificatif en cours de validité) - Jeunes de 18 à 25 ans inclus ; - Salariés et bénévoles des Offices de Tourisme du Rhône. Collections : 4€ Expositions : 7€
864 personas locales recomiendan
Musée des Beaux-Arts de Lyon
20 Pl. des Terreaux
864 personas locales recomiendan
Plein tarif : Collections permanentes : 8€ Expositions temporaires : 12€ Tarifs réduits : (Sur présentation d'un justificatif en cours de validité) - Jeunes de 18 à 25 ans inclus ; - Salariés et bénévoles des Offices de Tourisme du Rhône. Collections : 4€ Expositions : 7€
Tarif normal : 8 € Tarif réduit : 4 € - Jeunes de 18 à 25 ans révolus - Employés des Offices de Tourisme (carte UDOTSI) - Pass annuel du Musée des Confluences - Détenteurs du pass annuel du musée gallo-romain de Fourvière
275 personas locales recomiendan
Museo de Arte Contemporáneo de Lyon
81 Quai Charles de Gaulle
275 personas locales recomiendan
Tarif normal : 8 € Tarif réduit : 4 € - Jeunes de 18 à 25 ans révolus - Employés des Offices de Tourisme (carte UDOTSI) - Pass annuel du Musée des Confluences - Détenteurs du pass annuel du musée gallo-romain de Fourvière
Les Halles de Lyon – Paul Bocuse regroupent une soixantaine de commerçants. Les fameux fromages de la Mère Richard ou de Maréchal, les charcuteries de chez Colette Sibilia ou de chez Gast, les viandes exceptionnelles du boucher Maurice Trolliet ou encore les célèbres spécialités gastronomiques de Sève ou Bahadourian…. Tous ces produits d’exception - et bien d’autres !- sont vendus aux Halles.
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Halles Paul Bocuse station
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Les Halles de Lyon – Paul Bocuse regroupent une soixantaine de commerçants. Les fameux fromages de la Mère Richard ou de Maréchal, les charcuteries de chez Colette Sibilia ou de chez Gast, les viandes exceptionnelles du boucher Maurice Trolliet ou encore les célèbres spécialités gastronomiques de Sève ou Bahadourian…. Tous ces produits d’exception - et bien d’autres !- sont vendus aux Halles.
Si le parc s’appelle aujourd’hui (et ce depuis plusieurs années) le « Parc de la Tête d’Or », c’est à cause d’un trésor qui se trouverait au fond du lac. D’après la légende, la tête d’une statue en or du Christ aurait été retrouvée par les canuts (les fameux ouvriers du domaine de la soie à Lyon) qui creusaient le lac.
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Tête d'Or
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Si le parc s’appelle aujourd’hui (et ce depuis plusieurs années) le « Parc de la Tête d’Or », c’est à cause d’un trésor qui se trouverait au fond du lac. D’après la légende, la tête d’une statue en or du Christ aurait été retrouvée par les canuts (les fameux ouvriers du domaine de la soie à Lyon) qui creusaient le lac.
L'actuel opéra se dresse sur le site d'un théâtre du 18e siècle imaginé par Soufflot, puis reconstruit au 19e par les architectes Chenavard et Pollet. Il est ensuite rénové par Jean Nouvel et inauguré en 1993. Voici l'occasion de découvrir l'étendue du projet de cet architecte français, qui a réhabilité l'Opéra du 18ème, conservant sa façade néo-classique en la surmontant d'un imposant dôme de verre. Cette visite s'adresse aux passionnés du monde du spectacle, aux curieux de voir ce qui se cache derrière le rideau.
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Opera National de Lyon
1 Pl. de la Comédie
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L'actuel opéra se dresse sur le site d'un théâtre du 18e siècle imaginé par Soufflot, puis reconstruit au 19e par les architectes Chenavard et Pollet. Il est ensuite rénové par Jean Nouvel et inauguré en 1993. Voici l'occasion de découvrir l'étendue du projet de cet architecte français, qui a réhabilité l'Opéra du 18ème, conservant sa façade néo-classique en la surmontant d'un imposant dôme de verre. Cette visite s'adresse aux passionnés du monde du spectacle, aux curieux de voir ce qui se cache derrière le rideau.